« Il y a dans ces visages une beauté, une joie, un air de fête siextraordinaires, une si belle lumière se répand de tout c"té, quel'âme éprouve quelque chose de céleste. On se sent transporté au delàde tout séjour terrestre, dans un ciel deviné par la belle imagination du Corrège. Le tout se présente à la vue, avec cette tendresse etcette délicatesse que le seul Corrège a possédées et qu'aucun peintren'est parvenu à imiter, ni même à copier. »